WHEN YOU MARRY; AND YOU LOOK AROUND; I'LL BE SOMEWHERE IN THAT CROWD; TORN UP, THAT IT ISN'T ME

Comment en était-il arrivé là? Portant sa tasse à ses lèvres, il cacha un petit sourire en reconstituant le chemin qui l'avait mené à être assis devant son assistante, dans ce petit café presqu'inconnu de tous, où ils n'avaient cessé de faire des sous-entendus. Imaginait-il quelque chose ou ils flirtaient ouvertement ensemble?

C'était lundi soir, il faisait un peu froid à l'extérieur. Les feuilles étaient rouges, victimes de l'automne précoce qui s'abattait sur Gotham City. Les rues se vidaient plus vite, les commerçants recevaient des clients au nez rouge et aux mains froides. Mais la jeune femme devant lui semblait évitez tous ces désagréments; Maelle se tenait devant lui, ses longs cheveux bruns encadrant son visage symétrique et harmonieux. Lorsqu'elle souriait, ses pommettes se mettaient en valeur et Elias devait se forcer à ne pas fixer Maëlle des yeux et d'avoir ainsi l'air d'un patron psychopathe obsédé. Il se calla dans son siège en écoutant patiemment la jeune femme discuter, en posant ses mains sur son jeans afin d'éliminer l'humidité de la tasse.

La surprise qu'il avait eut en la voyant dans cette petite librairie, coincée entre le Barney's et un autre magasin bien prisé. Il avait découvert cette boutique plus jeune, en attendant pendant des heures Cecilia et son shopping. Et en revenant de New-York, il avait eut ce vieux désir de manger de la littérature, comme lorsqu'il était plus jeune. Après s'être pratiquement fait tué par une bande de mafieux japonais aux cheveux jaunes, il s'était rendu compte qu'il y avait ce livre, qu'il s'était promis de lire un de ces jours, et sa presque mort le lui rappela.
Y'a des moments comme ça, quoi.

Il sourit à ce que la jeune femme venait de dire et leva un sourcil, peu convaincu.

« Ce n'est pas si vous ne vous y attendiez pas, voyons. Tout le monde savait que Taylor Kent allait faire sa grande demande bientôt. Puis c'est bien normal qu'il protège ses joyaux.»

T…. T pour Tourgueniev. Il ne lui restait plus qu’à trouver une version traduite de Premier amour parce qu’aussi beau ça pouvait être dans la langue originale, Maëlle ne comprenait pas un traitre mot de Russe ni de français. La seule langue qu’elle parlait pour le moment était l’anglais et parfois la langue de Taylor Kent car, oui, il fallait souvent déchiffrer ce qu’il voulait dire à travers ses millions de marmonnements. Elle était tranquillement en train de scruter les allées de la petite librairie à côté de chez Barney’s . Jamais elle ne rencontrait quelqu’un de connu dans cet endroit et en fait elle était toujours aussi surprise de voir que c’était encore ouvert. Personne n’y mettait jamais les pieds. Pour une rue si branché, la librairie faisait un peu pitié à voir et n’était surtout pas ce que les gens riches et célèbres de Gotham recherchaient. La petite clochette de la porte tinta doucement pour la première fois depuis qu’elle avait mis les pieds dans la petite boutique. Il s’agissait probablement d’un vieux à la recherche d’un livre quelconque, la librairie était tellement vieille, qu’elle n’attirait que de vieux clients.

La jeune femme continua de fouiller dans l’allée à la recherche de la perle rare lorsqu’elle écrasa la pied de la seule autre personne qui se trouvait dans le magasin avec elle. Elle eut toute une surprise en réalisant qu’il s’agissait de son patron, Monsieur Wayne! Qu’est-ce qu’il pouvait bien foutre ici? Sincèrement, elle ne s’attendait absolument pas à le voir. N’importe qui, mais pas lui.

Une mèche de cheveux s’entortillait depuis un bon moment au bout de son index gauche. Elle faisait tourner la mèche sans vraiment s’en rendre compte plus comme un mouvement machinal qui lui occupait les mains pendant qu’elle buvait et discutait assise sur sa chaise du café où ils étaient. Plusieurs amoureux entraient en rigolant à la recherche du réconfort qu’apporte un chocolat chaud en cette soirée fraîche d’automne. Maëlle discutait joyeusement de tout et de rien. C’était la première fois qu’elle se retrouvait toute seule avec Monsieur Wayne à l’extérieur du boulot et c’était agréable. Il écoutait – du moins donnait l’impression – tout ce qu’elle disait comme si ça l’intéressait vraiment. Oh, elle ne doutait pas que Taylor s’intéressait à tout ce qu’elle avait à dire, mais souvent, il travaillait en même temps. Ne lui prêtait qu’une oreille distraite. La jeune femme n’avait pour le moment pas l’impression de se retrouver avec son patron, mais avec un ami avec qui elle pouvait discuter. Évidemment, il n’avait pas mis beaucoup de temps à remarquer la bague qu’elle portait nouvellement au doigt. De toute façon, les journaux en parlaient déjà.

« Ah ça! Je ne m’y attendais pas du tout! J’ai été surprise comme jamais dans ma vie!
-Ce n'est pas si vous ne vous y attendiez pas, voyons. Tout le monde savait que Taylor Kent allait faire sa grande demande bientôt. Puis c'est bien normal qu'il protège ses joyaux. »

Elle rougit un peu en entendant Elias la comparer à un joyau. Franchement, elle ne se voyait pas comme tel, mais c’était un très beau compliment. Elle marmonna un petit merci à peine audible pour lui faire comprendre que le compliment n’était pas passé inaperçu. Il était beau… vraiment trop beau… Maelle hocha la tête rapidement pour ne pas trop s’égaré sur cette pensée et enchaîna :

« Moi je ne m’y attendais pas. Puis de toute façon, ça ne change rien. Ce n’est pas comme si on allait se marier demain matin non? C’est une promesse qu’il va le faire un jour, non? »

Elle détourna le regard à son compliment et le rose de ses joues le fit sourire. Il repensa soudainement aux paroles de son meilleur ami, qui lui disait qu'il était évident qu'il craquait pour son assistante, mais oh! dommage! Déjà prise. Ça ne lui empêchait pas de pouvoir la courtiser, et à ce qu'elle semblait lui raconter, l'homme qui venait de lui faire la grande demande ne faisait qu'office de fantôme. L'idée de la ravir à ce Kent lui était passée rapidement à l'esprit, mais Elias ne ferait jamais ça. Ce serait de manquer de courtoisie envers la jeune femme, même si l'envie de faire royalement chier Taylor Kent pouvait être agréable.

« Moi je ne m’y attendais pas. Puis de toute façon, ça ne change rien. Ce n’est pas comme si on allait se marier demain matin non? C’est une promesse qu’il va le faire un jour, non? »

Il se rapprocha de la table, portant ses deux coudes sur le bois franc. Il se prit le menton et lui servit un air suspicieux. Était-ce de l'indifférence qu'il lisait dans sa voix?

« Oui en effet, c'est une promesse qu'il va faire un jour ou l'autre ... »

Il ouvrit la bouche pour continuer mais s'interrompit de lui-même. Elias n'allait pas se mettre à parler de mariage à son assistante, quand même. Surtout que la seule image de mariage qu'il connaissait personellement était celle de ses parents, image qui ne s'était seulement traduite en échec totale avec l'absence d'un mari et la tristesse d'une épouse. Bizaremment, regarder les yeux marrons de son assistante lui rappelait sa mère. Dis comme ça, c'est un peu étrange, mais Elias voyait la même intelligence; la même vivacité d'esprit dans le regard aiguisé de Maëlle. Il la savait particulièrement directe, peut-être pas avec lui, mais avec les autres comme Lorenza et Cecilia. Elle ne pouvait se permettre de parler directement à son patron, ça pourrait lui coûter son travail. Mais il tenait trop à elle pour lui couper son poste, elle lui était trop essentielle.

Il ne s'attachait pas aux gens. Il n'aimait pas tisser des liens avec les autres, parce qu'on finissait toujours par lui enlever son privilège. Il détestait perdre le contrôle, que cela ait le plus minime des rapports avec les autres, ou même avec sa famille. Il avait ce besoin de tout protéger, de s'assurer que tout allait se dérouler selon ses plans. Il savait qu'il commençait à s'attacher à Maëlle; ce parfum particulier qu'elle mettait tous les jeudis le faisait divaguer pendant quelques secondes, ses longues jambes mises en valeur par ces jupes noires. C'était cette sensation de vertige, qu'il ressentait lorsqu'il commençait à porter trop attention aux gens, à ce qu'ils étaient vraiment. Ils ne passaient pas tous le test, très peu pouvait se permettre de dire qu'ils avaient la confiance absolue d'Elias. Dans ces perles, on comptait Jeremiah King, bien évidemment, qui savait les moindres secrets sur sa vie. Il était suivit de Clarice et Raffaëla, puis les liens à partir de là s'effritaient.

« Je suis sûr que vous allez apprécier ce jour quand il va arriver. Sinon ce serait dommage que de perdre du temps à essayer de construire sur des bases erronées. »

Il haussa les épaules, juste pour lui indiquer qu'il ne disait pas sa pour la juger, ou même juger Taylor. Mais bien pour faire la discussion, comme s'ils étaient amis. Elias termina sa tasse et la déposa doucement sur la table. Il lança un sourire charmeur à Maëlle lorsqu'elle termina aussi.

« Et si je vous raccompagnais chez vous? Le soleil s'est couché, et je m'en voudrais probablement toute la nuit si je savais que j'avais laissé une belle jeune femme sans défense marcher seule dans les rues malfaisantes de Gotham. »

Elias déposa des billets sur la table, payant la consommation de Maëlle, ignorant ses complaintes avec un petit sourire moqueur. Ils se levèrent ensuite et il l'aida à mettre son manteau.

C’était une belle soirée digne d’un scénario de film. Une petite soirée qui donne l’impression d’être anodine. Un couple sans nom presque bien quelconque pour ceux qui les entoure. Pourtant, pour eux, il n’y a rien de plus anodin que cette rencontre. Le fruit du hasard en fait. Mais l’air est doux malgré la froidure de l’automne, les petites lumières du café remplaçait chaleureusement les étoiles cachées dans le ciel. Elle sourit, il rigole, elle rougit, ils discutent. Pour les spectateurs, c’est le début d’une histoire qui pour eux n’existe pas encore. Elle n’a pas de nom cette histoire. C’est un roman sans titre et sans fin. Les pages qui s’écrivent d’elle-même son toujours les meilleurs et les plus délicieuses à lire. Cette histoire, n’a rien à envier au il était une fois traditionnel puisqu’il était une fois Maëlle et Elias.

« Oui en effet, c'est une promesse qu'il va faire un jour ou l'autre ...»

Mais le mariage n’était pas encore dans l’air. La promesse de le faire un jour n’énervait pas tellement la jeune femme. De toute façon, ne lui avait-elle pas dit quelques minutes avant la grande demande qu’elle n’était pas du tout intéressé à rester chez lui pour le moment. Or, le mariage la condamnerait à s’enfermer dans le loft de Taylor. Surtout qu’il détestait les Wayne Enterprises, il lui demanderait surement de quitter son emploi prétextant qu’il pouvait amplement subvenir à leurs besoins, mais elle aimait beaucoup trop son emploi pour le faire. Alors, oui elle aimait Taylor et oui, elle voulait se marier avec lui, mais tout de suite, elle n’était pas prête à faire les sacrifices qui fallait pour être mariée à lui. De toute façon, elle ne voyait pas très bien ce que ça donnerait de plus à leur relation. Pour le moment, c’était parfait comme ça. Elle haussa les épaules à la dernière réplique d’Elias. En fait, elle ignorait elle-même si leurs bases étaient solides. Ils s’aimaient, mais est-ce assez pour formé un couple qui devra durer toute la vie?

« Et si je vous raccompagnais chez vous? Le soleil s'est couché, et je m'en voudrais probablement toute la nuit si je savais que j'avais laissé une belle jeune femme sans défense marcher seule dans les rues malfaisantes de Gotham. »

S’il savait tout ce qu’elle cachait derrière son sourire et ses joues roses, il n’aurait pas peur de la laisser marcher toute seule dans les rue de Gotham. Elle était assez forte pour se défendre toute seule sans aucun problème, mais à part Taylor, personne ne le savait. Cependant, elle voulait bien qu’il la raccompagne. Ils pourraient discuter un moment encore sans que ça ne pose de problème à personne. La soirée était jeune encore et étrangement, elle appréciait énormément la compagnie de son patron. Elle ne savait pas si c’était parce qu’il avait pratiquement le même âge qu’elle ou bien parce qu’il était follement beau, mais en cet instant, elle n’avait pas l’impression d’être seulement une employé à qui il parlait pour être poli. Il donnait l’impression de vraiment se soucier d’elle.

« Non. Ça va. Je suis capable de payer mes choses toute seule! Déjà que vous me raccompagniez, c’est hors de question que…. MONSIEUR WAYNE! »

Elle leva les yeux au ciel en voyant qu’il se moquait bien de ce qu’elle avait à dire. Il dépose quelques billets sur la table et se leva pour aider Maelle à mettre son manteau. Rouge comme une tomate, elle enfila ses gants et serra son foulard sur ses joues pour que Monsieur Wayne ne voie pas la couleur qu’elles avaient pris. Ils sortirent tranquillement du café comme si le temps ne comptait pas ce soir et que l’éternité leur appartenait. Sur le trottoir, elle passa son bras autour de celui d’Élias. Probablement comme un réflexe ou une habitude, mais au moins, ses doigts resterait au chaud. À Moins que monsieur Wayne ne lui indique une quelconque opposition. Elle prit la direction qui menait vers chez elle sans consulter son cavalier. Il avait bien dit qu’il la raccompagnait non? De toute façon, il connaissait le chemin aussi bien qu’elle puisqu’il ramenait souvent Lorenza ivre morte.

« Alors, je ne sais toujours pas quel était ce fameux livre que vous cherchiez à la librairie. »

Elle sourit resserrant son bras sur celui d’Elias. Pensant à ce premier amour de Tourgeniev avec la princesse Zinaïda. Comme quoi toutes les histoires sont dignes des contes de fées
.

YOU'RE SO BEAUTIFUL IT SINGS; ON A LONELY LAZY MORNING; AND WHEN I SEE YOU ROCKING BACK AND FORTH; WHISPERING THAT IT'S ALL FOR THE BEST;

Il ne put s’empêcher de ressentir ce petit frissonnement à l’extérieur; était-ce le bras de la brunette ou bien le froid de l’automne? Il aurait parié sur la première option, s’il n’avait pas réfréné tout de suite ses pensées. Elle allait bientôt être mariée, et lui s’invétèrerait à ressentir quelque chose pour elle. Ce serait de la folie que de laisser ce sentiment naître; tant pour lui que pour elle. Alors que les lampadaires donnaient une légère impression de romantisme à leur marche, il tourna légèrement la tête. Ses cheveux frottèrent doucement sa mâchoire, le parfum de la jeune femme emplissant sa tête soudainement. Il dût détourner un peu la tête pour ne pas s’enivrer. Il se laissa plutôt guider par les pas sûrs de Maëlle, sachant de toute façon où il allait. Combien de fois avait-il rapporté Lorenza, morte, à son loft? Trop de fois, pour le foie de la jeune femme. Mais il connaissait la blonde depuis trop longtemps déjà pour que son comportement peu orthodoxe ne l’affecte comme il pourrait affecter ces pauvres bonne femmes prudes. Bien entendu, Elias était tombé dans les filets –ou si on peut dire, les jambes- de Lorenza, il y avait même pris goût. Mais à la différence des dires de sa sœur qi semblait dépeindre les amants de Lorenza comme des hommes vivant dans l’espoir qu’elle les choisirait, Elias n’était pas comme ceux-là. La blondinette était une partie de plaisir les mardi après-midi lorsque l’activité de la tour était moindre ou bien même lorsqu’il était trop gelé pour se rendre compte qu’il ne l’aimait point.

Lorsque Maëlle était entrée dans sa vie à lui, les choses avaient légèrement changé entre Lorenza et lui. Il n’allait plus dormir chez elle; ce serait comme dormir chez son assistante, ce qui serait énormément peu professionnel. Elle venait le rencontrer que très peu de fois maintenant, aux Wayne’s. Il respectait son assistante, et elle faisait du trop bon boulot pour qu’il bousille tout pour une partie de fesse.

Coupant cours à ses réflexions peu importantes, elle se tourna vers lui et avec ce petit sourire moqueur, il vit les étoiles briller dans ses yeux. Il dût se concentrer sur les mots qui sortaient de cette bouche, car il éprouvait soudainement de la difficulté à ne pas fixer les lèvres rouges accompagnant le teint vermeil de la jeune femme. Il s’humecta les lèvres et toussota pour se racler la gorge, se rappelant par le fait même à l’ordre.

« Alors, je ne sais toujours pas quel était ce fameux livre que vous cherchiez à la librairie.
- Vous allez rire de moi, si je vous le dis, Miss Prince. C'est bien .. romantique comme lecture, je l'avoue. »

Elle lui envoya ce regard, qui il s’en rendit compte à l’instant, pourrait lui faire dire n’importe quoi. Il sourit un peu et détourna le regard. Gêné? Non. Mal à l’aise, ah ça oui! Comment une femme qu’il connaissait à peine pouvait-elle lui faire cet effet-là? Allait-il devoir écrire un essai sur ses sentiments pour elle afin de se comprendre lui-même? Mais quel pathétisme. Il était là, une jolie femme au bras, et la seule chose qui lui traversait l’esprit n’était que des questions sur la nature de ses actes.

« Bon d’accord. Dumas, Le comte de Monte Cristo. Je l’ai lu il y a longtemps, je devais avoir 16 ou 17 ans … j’ai eu soudainement envie de le relire dernièrement, je ne sais pas trop pourquoi. »

Si il savait. Parce qu’il se rendit compte qu’il était beaucoup plus près de Dantès qu’il ne le pensait. Que ferait-il donc pas pour venger sa mère, et même son père? Pour venger l’honneur qui s’abbatait depuis des générations sur le nom de sa famille? Mais il n’était pas Comte, heureusement. Il ne voulut pas trop y penser et décida de détourner la conversation.

« Et vous, Mademoiselle Prince? Qu’est-ce qui gardait votre intérêt dans cette petite et presqu’infâme librairie? »

La voir là-bas avait réellement été un adon, mais jamais il n'avait douté de l'intérêt pour la lecture qu'entretenait la jeune femme. Il fallait se le dire, Elias Wayne avait vu la bibliothèque de son assistante dans le loft de leur amie commune. Et sachant très bien que la littérature française ou même européenne n'était pas tant le fort de Lorenza, il en avait tout de suite conclus que Maëlle n'était pas sa culture littéraire.