MARVELOUS *
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 I'll love you till it ends

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MessageSujet: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeMer 9 Mar - 1:54

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    Metropolis c’est drôlement loin. Surtout quand son copain y passe le plus clair de son temps. Si seulement Taylor pouvait travailler par vidéo conférence à partir de Gotham. Au moins, on aurait plus de temps ensemble. Je sais que moi aussi je travaille beaucoup, mais je ne passe pas le trois quart de mon temps dans une autre ville. Évidemment, je ne dis rien sachant fort bien que son travail est important pour lui. Aussi important que le mien pour moi, mais je m’ennuie de mon copain. J’ai souvent l’impression qu’on est plus comme des amants. On se voit de temps en temps, on rit, on mange, on couche ensemble, mais sans plus. En fait, c’est peut-être ma faute. Taylor m’a demander à plusieurs reprises de déménagé chez lui, mais je refuse chaque fois. J’ai peur d’être toujours toute seule à l’attendre. Seule dans son grand loft, j’aurais l’impression d’être une vieille qui attend que son mari revienne à la maison comme dans l’ancien temps. On est plus dans l’ancien temps, non? Puis, je m’ennuierai beaucoup trop de ma vie avec Lorenza. D’accord, je pue la cigarette comme si je fumais moi-même conne une vraie cheminée, mais ce serait la même chose avec mon Kent d’amour. Je ne pourrais plus emprunter des millions de vêtements à mon amie quand bon me semblerai parce que sa garde-robe ne serait plus dans ma résidence. Puis, avec qui je commanderais des Sushis à tout heures de la journée et pour prendre un bon verre de champagne en commentant un peu méchamment les Fails vestimentaires de certaines personnalités publiques. Jamais, au grand jamais miss Rosebury ne retrouvait dans cette liste et grâce à elle Mae non plus ne s’y retrouvait jamais.

    J’étais au boulot lorsque mon téléphone avait sonné en matinée. C’est avec plaisir que j’ai appris en même temps que toute la communauté de Twitter que j’avais un souper avec mon amoureux ce soir. Romantisme fou cet homme. N’empêche. Je n’ai pas que sourire comme une idiote toute la journée. Personne n’aurait pu m’enlever la joie que j’avais de revoir Taylor après plusieurs jours d’absence. Personne pas même Kara de malheur ou ma très chère mère. La journée passa à une vitesse phénoménale. Comme si elle ne passait jamais à une vitesse phénoménale. J’avais tellement de boulot à faire dans une journée que je manquais toujours de temps. Sauf qu’aujourd’hui j’ai fait une exception, je suis partie du bureau vers trois heures. Je voulais me mettre belle. Me faire coquette pour ma soirée avec Taylor. Et aussi trouver un fichu cadeau pour l’anniversaire de Jesse. Mon demi-frère va finir par avoir huit ans sans que sa sœur ne lui souhait joyeuse fête. Puis, si ça se trouvait Madison allait finir par prendre toute la place et lui empoisonnée le cerveau avec ses idioties.

    En arrivant chez moi, je pris une longue et chaude douche. Il n’y avait pas longtemps que j’avais mis les pieds dans le loft, mais je profitais de l’absence de Lorenza pour prendre le plus de temps possible dans la salle de bain. Assez pour que la bué se colle intensément au miroir et aux parois de la douche. Pour qu’une espèce de chaleur intense m’assaille lorsque je fermerais enfin l’eau. Sifflotant un air de sexy bitch, je me rendis à ma chambre pour enfiler ma robe préféré. Franchement, elle n’avait rien de spéciale, mais elle était verte et je l’adorai. Je n’ai pas la prétention de dire que c’était celle que je portais à ma première rencontre avec Taylor parce que Marchesa serait affreusement jaloux.

    Je savourai une petite coupe de champagne lorsque les aiguilles de l’horloge indiquèrent six heures. Je devais partir vers la résidence de mon amoureux. Fébrile, j’enfilai mes souliers et sortie à toute vitesse. Je pris un taxi pour ma rendre chez lui question de faire encore plus vite. Heureuse, je cognai à la porte d’entrée de chez lui. J’aurais pue utilisé sa clé, mais je voulais le voir ouvrir, heureux de me voir.
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Taylor A. Kent
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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeMer 9 Mar - 21:19

TAYLOR ► Enfin, de quoi ça va avoir l’air quand je vais retourner à Gotham ? J’ai besoin de pouvoir vous faire confiance, vous comprenez, Robert ?

Je soupirais. J’avais l’impression que le Daily Planet allait s’envoler en morceaux. Rien n’allait comme je le souhaitais et je savais bien que mon déménagement à Gotham City n’aidait en rien. J’essayais malgré tout de faire la navette jusqu’à Métropolis quand il m’était impossible de régler le tout à distance. J’avais des employés qui prenaient en quelque sorte ma place, mais je commençais à me demander sérieusement s’ils étaient vraiment compétents pour l’emploi. Je quittais prendre l’avion dans moins d’une heure pour retourner à Gotham et préparer une surprise pour ma copine que j’avais l’impression de négligée alors que ce n’était pas mon but. J’avais seulement besoin de faire un dernier petit « briefing » à mes responsables le matin avant mon départ, mais ça ne se passait pas comme je le souhaitais. J’avais besoin sincèrement d’une cigarette, car s’ils faisaient en sorte de me faire complètement rater la petite soirée que j’avais planifiée toute la semaine dès que j’en avais la chance, j’allais vraiment péter un plomb. Peut-être pas jusque là, mais certainement que je ferais une mauvaise tête et qu’ils finiraient à la porte sous un coup de frustration. Je leur soulignais donc l’importance de certains détails et le fait que j’allais devoir quitter de toute urgence pour retourner à Gotham. Personne ne me retint après les avoir regardé un à un, leur faisant bien comprendre que ce n’était pas du tout le moment de dire un mot de plus.

J’avais donc pris l’avion, planifiant tous les derniers détails nécessaires pendant le court vol jusqu’à la ville de Gotham. Dès mon atterrissage, je composais le numéro de ma belle, un sourire aux lèvres en lui annonçant que j’allais la voir pour le repas, sans oublier de lui dire que je l’aimais. C’était pour moi ce qui avait de plus difficile, quand c’était le temps de devoir me pencher sur le travail au journal, de devoir passer tout ce temps sans voir Maëlle, en lui parlant au téléphone à peine quelques soirs durant mon séjour et me sentant terriblement mal de la laisser seule dans cet histoire. Par chance que notre relation était solide, puisque sinon, je ne crois pas que nous serions encore ensemble aujourd’hui. Mais je savais que c’était la bonne, alors, pourquoi m’inquiéter à ce sujet ? J’avais hâte de pouvoir la voir enfin après ces quelques jours de distance, sans avoir pu la voir et la serrer dans mes bras. J’espérais seulement bien fort que ma surprise ne tombe pas à l’eau.

Arrivé chez moi, je me suis jeté dans la douche pour ensuite enfiler une nouvelle chemise noire et un pantalon propre gris, question de ne pas être trop chic, sans non plus avoir un air de « je m’en fou », parce que c’était loin d’être le cas. J’avais la barbe fraîchement rasée et j’espérais que tout soit en place à temps avant l’arrivée de Maëlle. Sans tarder, je me suis mis à la cuisine, chose peu facile, encore moins avec le temps que j’avais devant moi. Je n’étais pas le meilleur cuisinier, mais j’essayais de me débrouiller à l’aide de quelques cours qu’il m’arrivait de prendre à l’occasion. J’allais lui préparer un vrai repas italien – sans l’italien en cuisine, par contre – en espérant que le repas allait être bon. J’aurais bien pu faire appel à un vrai chef, mais j’avais l’impression que c’était l’occasion parfaite pour faire quelque chose par moi-même. J’avais envie de la surprendre.

Je profitais de la cuisson pour m’assurer que l’endroit était bien propre, bien que je savais que la femme de ménage avait dû passer avant mon arrivée pour tout nettoyer, comme toujours. Je sortis tout ce que j’avais fait livrer à mon loft, pour les disposer à des endroits qui se voulaient stratégiques, – mais qui ne l’étaient pas vraiment, au fond – me fiant à une image d’ensemble. Mon cœur battait rapidement, j’avais l’impression d’agir en idiot tellement la situation me rendait … anxieux. Encore une fois, je n’avais aucunement le temps de fumer une cigarette. Ce n’était pas le temps de donner une odeur de tabac et de nicotine à mes vêtements alors que je venais tout juste de sortir de la douche et que l’endroit sentait bien frais.

Je finissais de déposer le dernier couvercle sur la table lorsqu’elle frappa à ma porte. Elle était là, enfin. Enlevant les plis sur ma chemise, je me dirigeais vers l’entrée, ouvrant avec un sourire pour la voir là, devant moi, magnifique dans cette robe verte qui me rappelait toujours la première fois où je l’avais vu. Ce soir où j’avais su que je voudrais la voir encore et encore.

TAYLOR ► Allez, entre.

Je lui souris, la laissant passer avant de fermer la porte derrière elle. J’en profitais pour la regarder de la tête aux pieds, puis, j’attrapais sa main avant qu’elle ne s’éloigne trop. Je tirais doucement – je n’avais tout de même pas envie de lui arraché un bras, bien que je savais qu’elle était wondergirl – pour l’attirer vers moi et serrer son corps contre le mien, un sourire toujours présent sur mes lèvres. Je posais une main entre ses côtes, l’autre sur sa nuque pour approcher tendrement son visage du mien et poser mes lèvres sur les siennes. Elle m’avait manqué et j’étais heureux de sentir son odeur et de l’avoir si proche de moi. Après un moment, je regardais ses yeux, sans pour autant l’éloigner de moi. Je ne voulais pas qu’elle s’éloigne.

TAYLOR ► Bonjour, toi. Tu es ravissante. Et tu m’as manqué.
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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeJeu 10 Mar - 13:58

    Je fondis presque en voyant le sourire de Taylor lorsqu’il ouvrit la porte. J’avais toujours ces ridicules petits papillons qui me flottaient dans le ventre lorsque je le voyais après une longue absence et je devais avouer qu’elle battait des records dans le temps celle-ci. Le pire c’est qu’avoir eu une voiture j’aurais facilement pue me taper les quelques heures de route qui me séparait de Métropolis, mais comme je ne possédais pas de véhicule à quatre roues, c’était impossible. En fait, je ne possédais même pas de véhicule à deux roues. Je devais me rendre au gym pour en faire du stationnaire. Folle de joie, je rendis donc son sourire à Taylor ayant follement envie de lui sauter au cou, mais je devais me contrôler et agir en fille de vint-quatre ans que j’étais quand même. J’entrai dans son grand loft et fut tout de suite envahi par une bonne odeur. Appétissante et réconfortante à la fois. Je n’aurais su dire ce que c’était exactement, mais ça me mettait en appétit. Parlant d’appétit, mon amoureux saisit ma main alors que j’allais m’aventuré encore un peu plus dans son appartement. Doucement, il me serra contre lui et m’embrassa. Comme c’était bon, il m’avait manqué et il était de bonne humeur. Je le poussai contre la porte en l’embrassant encore un peu plus intensément – ce n’était pas comme si j’avais peur de faire mal à Superboy quand même. Qui avait dit qu’on devait manger avant de faire l’amour? Pour l’instant, j’étais trop heureuse de retrouver mon homme pour réfléchir. Misère, nos lèvres se détachèrent une minute et Taylor en profita pour parler.

      TAYLOR ► Bonjour, toi. Tu es ravissante. Et tu m’as manqué.


    C’était d’une évidence même de dire qu’il m’avait manqué aussi. De toute façon je pensais m’avoir faite assez claire en l’embrassant en arrivant. Je me promis de ne plus le laisser partir aussi longtemps, l’embrassa rapidement une dernière fois un sourire malicieux au coin des lèvres et m’éloignai de lui rapidement question de le faire mariné un peu. Quand même, je n’étais pas pour lui sauter au cou à la seconde où je mettais les pieds chez lui. Il fallait qu’il gagne sa récompense quand même! À distance respectable, je me retournai vers lui, le sourire aux lèvres.

      MAELLE ► Merci, toi aussi tu es très beau. Dis-moi, qu’est-ce que tu as commandé pour souper ça sent drôlement bon tout ça!


    Je savais que Taylor n’était pas du genre à cuisiner des petits plats toute la journée. Moi non plus en vérité parce que je n’ai jamais le temps et avec une Lorenza hyper difficile il est impossible de faire des repas végétarien sans qu’elle ne saute au plafond et commence à me traiter de démon. Elle avait ce sens de l’exagération cette fille! Et pourtant, c’était ma meilleure amie de toujours et je l’adorais, mais côté alimentaire le seul point commun qu’un a est d’adoré les sushis et les bulles. En fait, rien ne vaut un bon verre de bulle avec des sushis pas même un saké! Je sais, je deviens aussi snob que ma meilleure amie, mais que voulez-vous c’est ma meilleure amie. Pas trop le choix.

      MAELLE ►Alors, dis-moi tout? Ça bien été ton INTERMINABLE voyage à Metropolis? Tu crois que tu vas devoir repartir comme ça bientôt? Parce que je pense que je vais mourir la prochaine fois. Jack ne fournissait plus de se faire flatter, promener et honnêtement, je préfère me faire embrasser plutôt que lécher par mon chien!


    Je sais, l’image est un peu dégoutante, mais c’est la pure et dure vérité. J’avais passé les derniers jours à prendre soins de mon bouvier bernois comme s’il s’agissait d’un enfant. Pas que je désire un enfant ou quoique ce soit, mais j’étais assez en manque d’attention pour le faire. Le pauvre matou à du subir au moins trois marches par jour en ne comptant pas celle que la promeneuse lui faisait faire avec le chien de Lo. Franchement, une chance que j’avais un chien en forme. N’en pouvant plus, je pris à mon tour la main de Taylor pour l’attiré vers moi. Apparemment, il n’avait toujours pas compris le message que c’était près de lui que j’avais envie d’être et pas seule au milieu de son appart.

      MAELLE ►Mais puisqu’il le faut; tu m’as manqué aussi. Et je t’aime.
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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeSam 12 Mar - 15:49

Je ne pu m’empêcher de rigoler en voyant comment agissait Maëlle. Un petit sourire en coin amusé, je la regardais agir, avec cet air malicieux qui me donnait tout simplement envie d’aller la prendre à nouveau dans mes bras et d’oublier le repas encore sur le feu. Ça aurait été irresponsable, mais tout de même, j’avais l’impression de ne pas l’avoir vu depuis des mois. À chaque fois que je revenais, ça faisait toujours la même chose. Je me répétais que je ne voulais personne d’autre pour m’accueillir, personne d’autre qu’elle pour me dire que je lui avais manqué. Plus le temps passait, plus ça devenait clair, mais durant les derniers jours, c’était plus que certain que je voulais continuer à vivre ma vie avec Maëlle à mes côtés. Je voulais la savoir près de moi, peu importe ce que l’on faisait. Que ce soit simplement à prendre un café le matin ensemble, ou à regarder des vieux films de mauvais goûts à la télévision, tant qu’elle était là, j’allais être bien. Je ne m’étais jamais sentit aussi idiot en amour. Ce n’était pas ma première relation, mais c’était de loin celle dans laquelle je voyais le plus d’avenir. Maëlle était celle avec qui je me sentais bien et pour la première fois, j’avais une entière confiance en une personne autre que ma famille. Peut-être parce que j’avais l’impression qu’elle me connaissait complètement. Qu’elle savait quoi dire au bon moment, qui me devinait, bien que j’espérais des fois, qu’elle ne se doutait de rien quand je voulais la surprendre.

MAELLE ► Merci, toi aussi tu es très beau. Dis-moi, qu’est-ce que tu as commandé pour souper ça sent drôlement bon tout ça!

Je souriais toujours, m’empêchant encore de la rejoindre complètement. Elle voulait jouer à ce jeu, me faire lambiner et me donner envie d’elle, ça c’était clair. Pourquoi ne pas faire pareil de mon côté ? Comme si elle était vraiment capable de m’avoir aussi facilement. Je rigolais un instant, plaçant mes mains dans mes poches de pantalon, gardant mon dos appuyé contre la porte d’entrée et ne détachant pas mon regard de sa silhouette à quelques pas de moi.

TAYLOR ► J’espère que ça va goûter aussi bon que ça sent … Surprise, j’ai essayé de cuisiner quelque chose depuis que je suis arrivé ici. Tout le repas est fait de ma main … maladroite. Je croyais que t’allais apprécier … en sachant à quel point on ne mange presque jamais des repas fait maison, tous les deux.

Je ne savais pas si j’étais vraiment un bon cuisinier. Quand j’osais me faire un repas pour moi seul, ça se tenait à de la salade, quelques fois des pates, mais rien qui me demandaient trop d’extravagance ou de concentration. Il m’arrivait de me faire des petits trucs santé ou des omelettes, enfin, sinon, c’était toujours quelque chose de commandé. Le tout était toujours mangeable, mais le temps manquait normalement pour faire à manger. J’espérais seulement que le repas de ce soir allait être assez bon. Je n’avais pas envie de gâcher moi-même tout ce que j’avais prévu.

TAYLOR ► Oh et … J’ai cuisiné un repas avec des plats italiens. Entrée, plat principal et dessert. On a même du bon vin.

J’appréhendais un instant sa réaction, espérant du moins que mon initiative lui plairait. J’aimais apprendre et dans mes quelques temps libres, à Métropolis, j’en avais profité pour connaître quelques notions de cuisine – italienne, dans ce cas-ci, spécialement pour ma chérie – priorisant ce qui pourrait satisfaire nos deux estomacs végétariens. Je décollais finalement mon dos de la porte, faisant quelques pas pour raccourcir la distance entre nous deux. Je n’avais plus envie d’être là, à discuter loin d’elle, quand j’avais enfin la chance de l’avoir juste pour moi. Rien pour nous déranger. Mon téléphone était fermé et j’avais bien avertit l’homme à l’accueil que je ne voulais aucun visiteur. Même Boxer n’était pas là, placé dans un endroit où il pourrait être bien. Je rigolais alors quand Maëlle mentionna Jack. Pauvre chien. Du moins, je savais que cette petite bête ne manquait de rien, avec la maîtresse qu’il avait. On avait ces points en commun et j’appréciais d’avoir trouvé une personne qui me ressemblait sur ces détails importants, soit les animaux et le côté végétarien.

TAYLOR ► Ne t’inquiètes pas, je ne comptes pas repartir bientôt. J’ai discuté avec certains employés et je crois qu’ils ont compris le message. Ils risquent de pouvoir se débrouiller sans ma présence constante à Métropolis. Je veux pouvoir au moins rattrapé le temps que j’ai perdu pendant que toi tu étais ici …

Je ne fus pas surpris de sentir sa main attraper la mienne, ce qui me fit rire. Elle se faisait prendre à son propre jeu et je trouvais ça plutôt amusant. Sans me laisser prier, je la rejoins, l’attrapant par la taille, un sourire malicieux au visage. J’allais frôler doucement mes lèvres contre les siennes, ne bougeant pas mon visage pendant un moment.

TAYLOR ► Je t’aime aussi … On va avoir toute la soirée, je suis tout à toi, mais pour le moment, le repas va brûler si je ne vais pas m’en occuper tout de suite

Je l’embrassais une nouvelle fois, glissant mes doigts entre les siens et l’entraînant à la table que j’avais disposée, décorée, – avec mon peu de talent – l’invitant à s’asseoir.

TAYLOR ► Tu veux du vin ? Je dois juste aller en cuisiner quelques minutes …

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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeMar 15 Mar - 22:10

      TAYLOR ► J’espère que ça va goûter aussi bon que ça sent … Surprise, j’ai essayé de cuisiner quelque chose depuis que je suis arrivé ici. Tout le repas est fait de ma main … maladroite. Je croyais que t’allais apprécier … en sachant à quel point on ne mange presque jamais des repas fait maison, tous les deux.


    Je souris de toutes mes dents comme s’il venait de m’annoncer la nouvelle la plus extraordinaire du monde. En fait, ce l’était un peu puisque c’était absolument impossible que Taylor me dise qu’il cuisinait… pour moi! Il ne cuisinait jamais et j’avais rarement le temps de le faire. Habituellement, on finissait par commander quelque chose où se rendre au restaurant. Et lorsque je cuisinais pour nous deux je faisais souvent la même chose. Soit, une salade aux caramboles et mangues. Je sais qu’on dirait un dessert, mais c’est excellent! Par chance que Taylor était lui aussi végétarien parce que ce ne serait pas toujours facile de s’accorder sur ce plan. Sinon, la seule chose qu’il accepterait que je cuisine serait mon gâteau au fromage et aux mûres. Comme j’adore ce dessert! Le coulis violet me donne automatiquement envie de le boire ou de me faire un smoothie avec les mûres restantes. Ce que je faisais pratiquement chaque fois.

      TAYLOR ► Oh et … J’ai cuisiné un repas avec des plats italiens. Entrée, plat principal et dessert. On a même du bon vin.
      MAELLE ►Tu as cuisiné! De l’italien! Végé? Oh mon dieu Taylor, je sais pas quoi dire! Sincèrement je suis impressionnée! Tu t’es vraiment donné tant de mal? Dis donc, tu te sentais vraiment mal de m’avoir abandonnée tout ce temps.


    Je rigolais un peu pour lui faire comprendre que je me payais sa tête. J’étais vraiment contente qu’il cuisine pour moi, mais je comprenais aussi qu’il ait du boulot à Métropolis et que c’était son occupation dans la vie. Qu’il avait des responsabilités au Daily Planet pas mal plus important que je pouvais en avoir aux Wayne enterprises. Quoique parfois, j’avais l’impression de travailler aussi fort que Monsieur Wayne. Même si j’adorai mon travail, j’étais souvent débordé, mais au moins, ça me faisait toujours aussi plaisir d’y mettre les pieds chaque matin. Pas comme lorsque je me disais que sa faisait assez longtemps que je n’avais pas revêtit le costume de Wondergirl. Ce n’était pas mon activité favorite du monde. Par contre, quand Kara me tombait trop sur les nerfs, je finissais par aller faire mon tour et lui dire ma façon de penser. J’en avais marre qu’elle et son stupide arc se prenne pour les dieux de la rue alors que franchement, il y avait des héros beaucoup plus intéressant qu’elle à Gotham. Toutefois, à part Taylor, je trouvais qu’ils étaient tous aussi dérangé que moi de vouloir faire passer leur message caché sous des costumes. Rousseau avait bien raison en disant que l’homme nait naturellement bon, mais que la société le corrompt. On est tous des petits dealers de bonheur. Les super-héros sont des gens qui se donnent de bonnes intentions, mais comme je le fais moi, je suis convaincue que même les « bons » ont quelques choses à cacher. Des trouillards, voilà ce que nous sommes, nous portant des masques et des costumes ridicules. Par chance que nous ne sommes pas des centaines avec des pouvoirs comme Taylor et moi sinon, on friserait l’apocalypse chaque jour.

      TAYLOR ► Ne t’inquiètes pas, je ne compte pas repartir bientôt. J’ai discuté avec certains employés et je crois qu’ils ont compris le message. Ils risquent de pouvoir se débrouiller sans ma présence constante à Métropolis. Je veux pouvoir au moins rattrapé le temps que j’ai perdu pendant que toi tu étais ici …


    Décidemment, ce sourire accroché à mes lèvres ne partirait pas de sitôt. J’étais prise du syndrome de la bonne humeur constante de revoir son copain. Qu’il le rattrape le temps perdu! Je ne demandai que ça. J’attrapai alors sa main pour le tiré vers moi. On était comme deux aimants attirés l’un par l’autre. Il m’avait définitivement trop manqué. Lui, son corps, ses lèvres, ses bras et ses mains chaudes. Franchement, je pourrais presque dire que j’étais devenue accro à lui. Mon superman d’amour, et je n’avais pas peur de lui dire que je l’aimais.

      TAYLOR ► Je t’aime aussi … On va avoir toute la soirée, je suis tout à toi, mais pour le moment, le repas va brûler si je ne vais pas m’en occuper tout de suite


    C’est vrai. Il cuisinait et je l’empêchais de finir. De plus, j’avais drôlement faim, maintenant qu’il faisait mention de la nourriture une fois de plus. Il laissa ses lèvres sur les miennes sans bougé juste pour me torturé encore un peu plus. Au bout d’un moment, je pouffai de rire, plus capable d’endurer son petit manège. Je l’embrassai une dernière fois et mis fit conduire à la table le temps qu’il termine le repas. Pour me faire patienter, il m’offrit un verre de vin.

      MAELLE ►D’accord. Je veux bien.


    Je le laissai filé remarquant enfin que Boxer n’était pas là et qu’il ne pourrait pas me faire accidentellement mal avec ses griffes de bouvier bernois trop gros. Je souris en remarquant que Taylor avait fait le ménage de son loft en oubliant Zéphir, le toutou issu de la série Babar sur lequel Boxer passait ses nerfs et surtout ses dents.

      MAELLE ►T’es certain chéri que tu veux pas que j’aille te donner un coup de main. J’ai rien d’autre à faire. Et ça me ferait plaisir. A moins que tu ais trop d’orgueil pour me laisser faire ça avec toi.


    Je rigolai assez fort pour qu’il m’entende et pris une gorgée de vin en attendant sa réponse. C’était un excellent vin et dieu sait que Lorenza ne l’aimerait pas seulement parce que ce n’était pas des bulles. Je pris une grande respiration, heureuse d’être où j’étais. En se moment, je ne me voyais nulle part ailleurs que dans le loft de l’homme que j’aimais. À la folie, faut le dire, mais comme je suis folle,… c’est normal n’est-ce pas?



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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeSam 26 Mar - 15:04

MAELLE ►Tu as cuisiné! De l’italien! Végé? Oh mon dieu Taylor, je sais pas quoi dire! Sincèrement je suis impressionnée! Tu t’es vraiment donné tant de mal? Dis donc, tu te sentais vraiment mal de m’avoir abandonnée tout ce temps.

Je rigolais encore un peu, continuant de la regarder. J’avais envie de lui dire que rien n’était trop beau, trop difficile, pour elle. Que tout valait la peine d’être fait. Que j’étais prêt à tout quand elle était près de moi ou tout simplement, quand elle faisait partit des plans. J’avais bien beau être le fils de Superman, avec cette force plus grande que la normale, un être plus complexe à tuer. Devant un ennemi, je n’avais pas aussi peur que lorsque je devais faire quelque chose qui pourrait me ridiculiser. Oui, je n’avais pas honte de me promener en collant la nuit, mais c’était différent. En tant que Taylor, je souhaitais paraitre bien, ne pas faire honte à personne. J’aimais que tout soit bien fait. Malgré tout, je continuais de garder cette crainte : celle de voir partir Maëlle. Ça, je n’allais jamais arriver à lui dire. Certaines choses sont plus difficiles à extérioriser que d’autres. Au moins, je le pensais. J’étais capable de lui dire que je l’aimais, que je voulais la garder près de moi. Pour d’autres sentiments … il était plus complexe. Elle était ma faiblesse, celle pour qui je veux me battre toute ma vie, seulement pour la savoir encore près de moi. C’est difficile, d’avouer ses faiblesses, car, plus le temps avançait, plus Maëlle devenait … équivalente à la kryptonite, mais d’un point de vue différent. Elle m’affaiblissait, me rendait vulnérable. Sauf que ce type de kryptonite, je ne voulais pas la voir disparaître.

TAYLOR ► Je te l’ai dit, je voulais te faire une surprise. Je veux qu’on passe une belle soirée, juste tous les deux. Personne pour nous déranger, pas même le chien ou … les autres « combattants » de la ville. Tu me pardonnes de t’avoir délaissée, alors ?

J’eu un petit sourire, fit un air de chien battu raté pour aller avec ma demande d’excuse. Incapable de garder mon sérieux pour cela, je commençais à rire un peu, gardant un sourire heureux au visage. Je détaillais Maëlle de la tête aux pieds, me disant à quel point je détestais devoir toujours partir comme ça pour le boulot et la laisser ici. Parfois, j’avais envie de retourner vivre à Métropolis, puisque ce serait plus simple, mais je préférais de loin faire des voyages entre mon bureau et Gotham, seulement pour ne pas quitter Maëlle. Je pouvais bien lui demander de venir y vivre avec moi, mais je doutais qu’elle veuille vraiment quitter tout ce qu’elle avait ici et c’était compréhensible. Je n’étais pas un monstre, je comprenais parfaitement tout ça et je respecterais ses décisions, peu importe ce qu’elles impliquent. Je voulais simplement qu’elle soit heureuse dans la vie. Lorsque nos lèvres se rencontrèrent, il fut difficile de me détacher et de retourner à la cuisine. Le repas ne m’intéressait plus autant, maintenant que je l’avais près de moi, que j’avais pu sentir son odeur ou que mes mains aient pu toucher sa peau douce. Je l’embrassais une dernière fois lorsque je la laissais seule à la table, accourant chercher une coupe de vin pour ma chérie. Je lui versais le liquide rouge qui m’avait coûté un bon montant, mais qui était reconnu comme excellent. Je déposais la coupe devant elle, lui fit un petit sourire.

TAYLOR ► Et voilà le vin pour la dame. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésites pas. Ça ne sera pas bien long de toute manière.

Je quittais à nouveau vers la cuisine, la laissant seule à la table. J’avais un certain stress au fond de moi et je me sentais stupide de me sentir de cette manière. Je voulais que tout soit parfait, comme je l’avais imaginé. J’étais peut-être un peu perfectionniste, mais c’était important pour moi que Maëlle se rappelle de ce moment, apprécie chaque instant de la soirée que j’avais organisée dans les moindres détails pendant bien des jours.

MAELLE ►T’es certain chéri que tu veux pas que j’aille te donner un coup de main. J’ai rien d’autre à faire. Et ça me ferait plaisir. A moins que tu ais trop d’orgueil pour me laisser faire ça avec toi.
TAYLOR ► Non non, reste là. J’ai la situation en main et tu n’as rien à faire, relaxe un peu avec ta coupe de vin, j’arrive dans quelques minutes. J’ai décidé de faire le repas, alors je ne veux pas que tu fasses quoi que ce soit. Tu es mon invitée.

Je finissais de préparer le tout, enlevant la serviette que j’avais pris comme tablier le temps de tout cuisiner, puis, arrivant avec les deux plats en main. Je déposais la première devant ma belle, puis, je m’assis à mon tour, devant elle, après m’être servi du vin. Je lui fis un sourire.

TAYLOR ► Voilà. J’espère que tu vas aimer, c’est des aubergines aux amandes et à la sauce tomate. En tout cas, ça ressemble plutôt bien aux images que j’avais vues. Buon apetito !

Je commençais à manger, prenant quelques gorgées de vin, regardant Maëlle, pour savoir si tout d’abord, j’avais réussi mon repas et ensuite, pour apprécier l’instant de la savoir près de moi.

TAYLOR ► Oh, je réfléchissais à ça et … Tu sais, ça ne doit pas toujours être facile cohabiter avec Lorenza. Et puis, j’ai de la place ici … Tu serais bien, je crois. C’est beaucoup plus calme surtout, enfin …
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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeJeu 14 Avr - 21:33

    La soirée s’annonçait merveilleuse. Non, vraiment, j’étais absolument positive sur le fait que notre soirée serait mémorable. J’avais le sentiment que les quelques jours qu’on avait passé séparer l’un de l’autre allaient faire en sorte que notre soirée allait être tranquille et comme je les avais espéré. Surtout que Taylor me donnait l’impression d’avoir fait les plus grands efforts du monde pour que je sois heureuse. Comment faire autrement? Dès que j’avais mis les pieds chez lui je m’étais sentie totalement bien et surtout absolument trop heureuse de revoir mon amoureux. Je me sentais comme une enfant que l’on emmenait au carnaval pour la première fois de sa vie. De plus, j’étais autant plus fébrile de gouter la cuisine de mon amoureux que cet enfant qui goute de la barbe à papa pour la première fois. Fallait aussi dire que Taylor ne cuisine jamais et que son idée d’un souper romantique, habituellement, est de me demander ce que j’ai envie de manger et de réserver une table dans le resto qui correspond à mon choix. J’apprécie chaque fois nos petits souper au resto, mais j’adore aussi être tranquille à la maison et faire un petit souper comme ça. Évidemment, Cecilia dit que je suis comme une petite vieille et que je vis ma vie à la vitesse qu’un Koala. Heureusement, moi je dis que c’est mignon un Koala et que même si ça avance aussi vite qu’une grenouille, ça veux dire que je suis adorable…. Ou pas!

    En tous cas, ça sentait drôlement bon dans l’appartement de mon amour et j’avais incroyablement inutile à boire toute seule ma coupe de vin assise à la table. Je voulais aider surtout sachant que ce n’était pas la tasse de thé de Taylor – la cuisine. Je pris une nouvelle gorgée et lui demanda s’il refusait encore mon aide.

      TAYLOR ► Non non, reste là. J’ai la situation en main et tu n’as rien à faire, relaxe un peu avec ta coupe de vin, j’arrive dans quelques minutes. J’ai décidé de faire le repas, alors je ne veux pas que tu fasses quoi que ce soit. Tu es mon invitée.


    J’avais envie de lui dire que depuis longtemps, je n’étais plus son invitée. J’étais chez lui comme chez moi et à un point tel qu’il me demandait régulièrement d’emménager chez lui. Seulement, j’avais drôlement peur de me retrouver toute seule dans son grand loft. J’avas mes habitudes avec Lorenza, j’étais bien avec elle et habituée, surtout, d’être accompagnée. Je ne me voyais pas vivre toute seule dan un loft la moitié de mon temps. Je m’ennuierais et je n’aurais personne à qui parler. Skype c’est bien beau, mais après une demie heure je m’ennuie solidement de parler à un écran. Enfin, Taylor arriva avec les plats qui sentaient bon et me donnait l’impression d’être assise dans un restaurant de la péninsule italienne. Il déposa l’assiette devant moi, se servit une coupe de vin et s’assit devant moi.

      TAYLOR ► Voilà. J’espère que tu vas aimer, c’est des aubergines aux amandes et à la sauce tomate. En tout cas, ça ressemble plutôt bien aux images que j’avais vues. Buon apetito !


    Je rigolais en levant ma coupe pour lui porter un petit toast. Question de le remercier d’avoir pris la peine de concocter ce petit repas pour nous deux. C’était adorable et j’étais définitivement aux anges. Je lui souris les yeux, j’en étais sure, brillant d’amour. C’était parfait! Je goutai le repas rapidement et fut enchanté de constaté que c’était aussi beau que bon.

      MAELLE ► Mon dieu, c’est excellent mon amour. Sérieusement, je veux la recette! Peut-être que Lorenza pourrait même aimer ça! Merci beaucoup! Je suis vraiment contente! Tu peux même pas savoir à quel point!

      TAYLOR ► Oh, je réfléchissais à ça et … Tu sais, ça ne doit pas toujours être facile cohabiter avec Lorenza. Et puis, j’ai de la place ici … Tu serais bien, je crois. C’est beaucoup plus calme surtout, enfin …


    Comme j’y pensais tout à l’heure! Je ne m’attendais pas à ce qu’il m’offre encore de vivre chez lui je croyais avoir réglé la question pour plusieurs semaines la dernière fois, mais non.

      MAELLE ► Taylor, tu sais très bien ce que j’en pense. Je vais m’ennuyer toute seule ici. Je suis bien avec Lorenza. Quand tu pourras me promettre que tu vas être ici pour toujours alors là on en reparlera. Je voudrais certainement m’installer avec toi, mais pour l’instant c’est impossible. Tu ne peux pas me demander de rester ici toute seule en t’attendant. Je vais virer folle!


    C’était sincère et je ne faisais pas ça pour lui faire de la peine, mais s’il me demandait encore une fois de rester ici toute seule et de m’enfermer dans son loft je ne serais pas très heureuse. Je pris quelque bouchée encore et ajouta un petit : « Tu comprends? » ayant peur de lui avoir causé du chagrin. Il fallait bien qu’il comprenne que je ne le faisais pas pour briser son cœur, mais parce que je tenais à ne pas quitter Lorenza tant et aussi longtemps qu’il vivrait à temps plein avec moi à Gotham et pas seulement la moitié du temps!


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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeDim 8 Mai - 11:54

    MAELLE ► Taylor, tu sais très bien ce que j’en pense. Je vais m’ennuyer toute seule ici. Je suis bien avec Lorenza. Quand tu pourras me promettre que tu vas être ici pour toujours alors là on en reparlera. Je voudrais certainement m’installer avec toi, mais pour l’instant c’est impossible. Tu ne peux pas me demander de rester ici toute seule en t’attendant. Je vais virer folle!

    Je me retins de soupirer, ne faisant qu’hocher la tête à ses paroles. Je gardais les yeux baissé sur mon assiette, mastiquant tranquillement ce que j’avais cuisiné, plutôt satisfait du goût que ça l’avait, bien que ma tête fût ailleurs. Il m’était impossible de vraiment me concentrer sur mon plat et mon estomac ne semblait pas plus d’accord à l’idée de manger tout ce que j’avais préparé. Oui, j’étais déçu, bien que je m’attende à une réponse du genre. Ce n’était pas la première fois que je lui demandais de venir emménager avec moi. J’espérais tant qu’un jour, elle puisse dire oui. Peut-être était-elle bien avec Lorenza, personnellement, même si je la prenais comme ma sœur, je n’aurais certainement pas été capable de vivre avec une jeune femme aussi mouvementée. J’avais besoin de mon calme, de mon endroit à moi et je croyais jusque là que c’était pareil pour ma copine. Peut-être me trompais-je. Je savais très bien qu’elle ne disait pas ça pour me faire de la peine, ce n’était pas son genre. Simplement que tout à coup, j’avais une certaine crainte que mes plans tombent à l’eau. Et si … Non. J’étais un adulte plein de confiance, qui savait ce qu’il voulait dans la vie et ce n’était pas un simple refus à emménager tout de suite avec moi qui allait me faire reculer. On ne perdait rien d’essayer, de toute manière. Je pris une longue gorgée de vin, hochant la tête, m’efforçant de lui faire un sourire.

    TAYLOR ► Je comprends. Tu as raison … C’était idiot de te poser la question encore une fois. Tu emménageras seulement lorsque tu en auras envie. Et puis, la porte t’est toujours ouverte. Tu viens quand tu veux, même quand je suis absent. Pour moi, ça reste aussi ton chez-toi.

    J’étais sincère. Je ne lui avais pas donné une clé de chez-moi il y a quelques temps pour rien. Elle pouvait utiliser mon loft si elle voulait relaxer, simplement dormir ailleurs, être seule, travailler en paix si elle le voulait. Je n’avais rien à lui cacher et je lui faisais une confiance aveugle. Comment faire autrement? Maelle était tout simplement, à mon avis, une femme de valeur, une des rares personnes vraies que l’on peut trouver dans notre société actuelle.

    TAYLOR ► Alors, uhm, comment s’est passée ta journée?

    Manière comme une autre de changer de sujet et de l’écouter parler. De me changer les idées et d’essayer de retrouver mon calme alors que je commençais à sentir l’anxiété me prendre. Je me sentais complètement stupide d’être aussi stressé pour un « détail » – qui n’en était pas vraiment un – comme celui là. Je n’avais peut-être pas choisi le meilleur sujet, mais bon, c’était une conversation comme une autre, pour le moment. Je n’avais pas envie d’un silence de mort en plein milieu du repas, sachant pertinemment que je n’allais pas être le premier à parler pendant de longues minutes. Je laissais plutôt le soin à ma copine de parler de tout ce dont elle avait envie. Déjà, elle était de nature un peu plus bavarde que moi. J’aimais m’y tenir aux phrases courtes et simples, sans approfondir mes propos. Par chance que j’étais différent quand j’écrivais un article. Je savais que Maelle appréciait son travail aux Entreprises. Je savais aussi que je ne portais pas nécessairement dans mon cœur Elias Wayne. Non, pas que je le détestais, j’avais l’impression de ne jamais avoir eu d’affinités bien présentes avec les enfants Wayne, sans savoir pourquoi. Il y a des gens comme ça dans la vie, avec qui on ne voit aucunes raisons de discuter du week-end dernier. On s’y tenait à un salut poli durant les soirées, mais sinon, rien de plus.

    J’écoutais ma belle parler, attentif. J’essayais toujours de l’être, bien que parfois, elle avait un talent pour me faire la conversation lorsque j’étais concentré sur autre chose. Ça ne me dérangeait pas et j’étais, la majorité du temps, tout de même capable de suivre ce qu’elle me racontait. Il m’arrivait malheureusement de penser à trop de choses en même temps. J’étais incapable de passer une seconde à réfléchir au moment présent. Encore, je sentais déjà mon cœur se serrer à l’idée de la suite de la soirée.

    TAYLOR ► Tu veux d’autre vin? Et tu me diras quand tu vas être prête à manger le plat principal. Tu décides. Si tu veux quelque chose, ne te gênes pas non plus, tu sais. Je tiens à ce que ta soirée soit… parfaite.

    J’avais l’impression que si je parlais trop, j’allais être maladroit et tout gâcher. J’étais normalement sans failles, devant public. Devant Maelle, c’était différent. Au fond, c’était la première fois que je me sentais ainsi devant quelqu’un. Avoir peur de faire un mauvais pas, de tout gâcher, de créer des problèmes et des querelles. Je remplissais encore un peu sa coupe, lui fit un petit sourire et baissa le regard sur mon entrée à moitié mangée. Je manquais drôlement d’appétit. En espérant que le dessert allait être plus calme. J’attrapais doucement sa main, caressant ses doigts fins de mon pouce. Me répétant que je ne me voyais avec personne d’autre qu’elle, en ce moment.
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MessageSujet: Re: I'll love you till it ends   I'll love you till it ends Icon_minitimeMer 25 Mai - 0:55

    J’ignorai pourquoi, mais l’image qui me venait en tête était complètement incohérente avec la conversation que nous avions Taylor et moi. Je m’imaginais, assis dans l’herbe haute d’un champ peut-être. Il y avait des marguerites partout et il faisait très chaud. Chaud comme au mois de Juillet lorsque la chaleur ne s’échappe pas d’entre les bâtiments de Gotham. Je le regardai penché vers moi, la tête dans les nuages à cause de l’illusion d’optique… Ce serait trop parfait pour que ça arrive dans un futur rapproché. Il était trop occupé et je ne me voyais pas demander congé à Monsieur Wayne. On était très occupé aux Enterprises et il y avait mille et un choses à penser. Des contrats à finaliser et des comptes à gérer. Il y avait ces milles signatures que j’avais besoin sur chacun des documents à faire autorisé par Elias ou Barry. Franchement, je préférais faire affaire avec Monsieur Wayne, il me semblait bien moins antipathique. Surement parce que Barry pensait que j’étais une incompétente et surtout indigne de confiance. J’allais probablement emmener les enterprises dans ma chute selon lui. Vicky ne faisait pas affaire avec les Enterprises puisque c’était le rôle d’une femme d’après lui. Il pouvait bien garder ses vieilles idées pour lui! Quel idiot.

    Je rapportai mon attention toute entière sur ce bel homme qui se trouvait prêt de moi. Chaque fois que je posais un œil sur lui, je me savais complètement folle et surtout bonne pour enfermée à Arkham. Je ne savais pas encore ce qui adviendrait de moi s’il venait qu’à me quitter ou s’il lui arrivait quelque chose. Dieu seul sait ce que cache le ciel de Gotham ou de Métropolis la nuit. Je le savais fort comme vingt et intelligent, mais qui sait ce que les vilains autre que moi on en tête une fois que la lune habille la terre de millions d’étoiles. Pour en avoir vue à quelques reprises, je savais qu’un rien pouvait les faire sauter un câble et les rendait capable de tout. Je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose. Je voulais qu’il me reste pour toujours et sans blessure. Superman pouvait bien ranger sa cape parce que c’était ce velours que j’avais autour du cœur.

    TAYLOR ► Je comprends. Tu as raison … C’était idiot de te poser la question encore une fois. Tu emménageras seulement lorsque tu en auras envie. Et puis, la porte t’est toujours ouverte. Tu viens quand tu veux, même quand je suis absent. Pour moi, ça reste aussi ton chez-toi.

    Je savais que je l’avais déçu. Il s’attendait probablement à une réponse positive cette fois-ci. Parce que pour un couple normal, c’était l’étape la plus évidente à franchir. D’ailleurs, j’avais déjà la clé de son loft et lui celle de celui que je partageais avec Lorenza, mais franchement je doutais qu’il s’en servirait. Je pris une longue gorgée de vin et le regarda avec un petit sourire désolé. Je saisi sa joue alors qu’il me demandait comment c’était passé ma journée, signe qu’il voulait passer à un autre sujet, et l’embrassai tendrement aux coins des lèvres, me laissant gagner finalement… Je l’embrassai langoureusement tout à fait perdue dans l’étreinte.

    MAELLE ► Je t’aime Taylor! Oh tu sais, c’est vraiment bon ton repas. Tu devras en faire plus souvent parce que c’est délicieux. J’ai hâte de voir la suite monsieur le cuisinier. Et pour ton information, ma journée a été très normalement plate. Jusqu’à ce que je coure chez moi prendre une douche et que j’arrive ici.

    Je préférai m’arrêter là. Ne désirant pas nécessairement parler du boulot avec Taylor sachant que notre opinion divergeait sur ce sujet. De toute façon, mon amoureux avait l’air franchement préoccupé par autre chose…comme si c’était la première fois que ça lui arrivait. Il devait plancher sur un article drôlement important au boulot et ça prenait toute sa tête. Je levai les yeux vers lui tranquillement. J’avais l’impression que mon cœur explosait et qu’il se rependait autour de nous…

    TAYLOR ► Tu veux d’autre vin? Et tu me diras quand tu vas être prête à manger le plat principal. Tu décides. Si tu veux quelque chose, ne te gênes pas non plus, tu sais. Je tiens à ce que ta soirée soit… parfaite.

    Je n’avais pas tellement faim à vrai dire, mais il avait mis tellement d’effort que je n’allais pas lui dire ça! Ce dont j’avais envie, c’était de me blottir contre lui dans une couverture chaude, de regarder un film et de discuter tout le long. J’avais envie de l’attiré joyeusement contre moi, jusqu’à son lit, qu’on fasse l’amour jusqu’à demain matin et que je décide presque par hasard de ne pas rentré au boulot parce que je voulais aller déjeuner avec lui. On irait promener Boxer et Jack dans le parc et je tomberai sur Cecilia la suppliant de ne pas dire à Elias que je ne suis pas vraiment malade. Ce qu’elle ferait après quelques promesses anodines arrachées entre deux rires. Il prit ma main et glissa ses doigts tendrement contre les miens. Moi aussi je voulais que la soirée soit parfaite… mais elle l’était déjà. De l’avoir seulement pour moi, me faisait enfin plaisir et c’était sans l’ombre d’un doute le plus beau des cadeaux.

    MAELLE► Parfait. Je veux bien une autre coupe avec ce repas qui sent si bon et qui est si mystérieux. Tu sais que j’adore la soirée! Simplement parce que j’adore être avec toi.

    Je sentais que j’aurais pue pleurer pour rien. Simplement parce que j’étais heureuse et qu’il semblait heureux aussi. Tout semblait être à la bonne place et ça me faisait drôlement chaud au cœur de voir à quel point notre amour tenait le coup malgré les années. Même si tout le monde nous avait prédit un échec lamentable, j’étais heureuse de pouvoir dire que cet homme c’était le mien. Peu importe ce que ma mère disait, que Ceci lui trouvait ou que Lorenza savait. J’étais heureuse et c’était bien.
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